Le Japon à la fin d’Edo. La mue d’un « monde flottant »
Vient de paraître le n° 222 de la revue Dossiers de l’Art HOKUSAI. Dans ce numéro, un article de Guillaume Carré : Le Japon à la fin d’Edo. La mue d’un « monde flottant ».
Le Grand Palais crée l’événement de cet automne en célébrant Hokusai (1760-1849), l’un des plus grands noms de l’estampe japonaise, et sans conteste le plus célèbre en Europe. On n’a jamais vu, hors du Japon, rétrospective de cette ampleur : plus de 500 dessins, peintures, gravures et livres, présentés par rotation et en deux volets en raison de leur fragilité, retracent les six périodes majeures de la carrière au long cours du maître et composent le panorama le plus complet de son œuvre.
Le Japon à la fin d’Edo. La mue d’un « monde flottant » (p. 26-33)
Dossiers de l’Art HOKUSAI N° 222 – Octobre 2014 Éditions Faton ISSN : 1161-3122, 9,50 EUROn ne peut guère saisir la complexité de l’œuvre de Hokusai sans plonger dans le Japon de la fin d’Edo, sans chercher à comprendre l’esprit de l’époque et de son art. Dans un pays de traditions en proie à un bouleversement social et économique sans précédent, l’effervescence de l’édition illustrée révèle la force et les enjeux d’une nouvelle culture populaire.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Yasuko D'Hulst (16 octobre 2014). Le Japon à la fin d’Edo. La mue d’un « monde flottant ». Carnets du Centre Japon. Consulté le 8 décembre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/m9pd
